Sondage JOYclub : plus de 7 partenaires sur 10 préoccupés par la pilosité lors d’un cunnilingus

Le cunnilingus, aussi connu sous les noms de léchage ou lickjob, est une pratique sexuelle orale qui stimule le clitoris, la vulve et le vagin. Selon un sondage JOYclub réalisé en mai 2024 auprès de 3000 personnes, 64% (1939) d’entre elles/eux sont des fervent.e.s adeptes de cette pratique.

Les chiffres clés du sondage :

Importance de l’orgasme :

  • 94,5 % des donneurs.euses trouvent crucial d’atteindre l’orgasme

Parmi les 1939 receveuses :

  • 52,8% déclarent avoir souvent ou toujours un orgasme
  • 38,9 % déclarent en avoir occasionnellement ou rarement
  • Pour 57,3 % des receveuses, l’orgasme est (très) important
  • Pour 42,7 %, l’orgasme est (très) peu important.

Communication lors du plaisir :

  • 93,4 % des femmes communiquent leur plaisir, principalement de manière non verbale
  • 96,8 % bougent leur bassin
  • 95,7 % respirent de manière audible
  • 93,4 % gémissent
  • 75 % prennent la tête de leur partenaire dans leurs mains
  • 75,4 % utilisent des demandes verbales.

Préférences des donneurs :

  • 76,9 % des donneurs n’apprécient pas les poils lors du cunnilingus
  • 89,3 % aiment (beaucoup) le goût
  • 77,4 % aiment (beaucoup) l’odeur
  • 97,8 % aiment (beaucoup) la vue de la vulve

Préoccupations des receveuses :

  • 58,2 % se préoccupent de leur pilosité
  • 54,4 % se préoccupent de leur odeur
  • 53,8% se préoccupent de leur goût
  • 23,3 % se préoccupent de l’apparence de leur vulve

Interactions pendant le cunnilingus :

94,5% des donneurs trouvent crucial d’atteindre l’orgasme

Lécher jusqu’à l’orgasme, c’est (très) important pour 94,5% des 2677 personnes interrogées qui arborent un rôle de donneur.se ou receveuse. Un objectif apparemment noble – et peut-être aussi une forte pression car parmi les 1939 répondantes receveuses, seules 52,8 % ont déclaré avoir souvent ou toujours un orgasme, et 38,9 % occasionnellement ou rarement.

De plus, l’importance de l’orgasme n’est pas la même pour toutes : Pour 57,3%, il est (très) important, mais pour 42,7%, il est (très) peu important.

« Ne t’arrête pas, continue ! » C’est ce que 63,4 % des femmes demandent lorsqu’elles ont un orgasme. Et ce, indépendamment de la fréquence à laquelle elles jouissent lors de la stimulation orale et du fait que cela leur soit plutôt facile ou difficile à atteindre.
 


76,9% des donneur.ses n’apprécient pas les poils lors du cunnilingus

Le cunnilingus est perçu comme très intime par presque toutes les personnes interrogées et les a priori autour des organes génitaux ne manquent pas. En particulier, les femmes se préoccupent de leur pilosité (58,2%), de leur odeur (54,4%) et de leur goût (53,8%), mais beaucoup moins de l’apparence de leur vulve (23,3%).

Cependant, quand on leur demande, les donneur.ses ne sont pas affecté.es par ces aspects-là et aiment (beaucoup) le goût (89,3%) et l’odeur (77,4%) ainsi que la vue de la vulve (97,8%). Seuls les poils peuvent être perçus négativement : 76,9% ne les aiment pas quand ils/ elles lèchent leur partenaire.

Néanmoins, lorsque la bouche et peut-être aussi le nez des personnes actives sont recouverts de liquide corporel, elles en profitent simplement pour elles-mêmes (55,3%) ou le partagent encore plus volontiers avec leur partenaire en s’embrassant (65%).


93,4% des femmes communiquent leur plaisir lors du cunnilingus

Les femmes interrogées communiquent leur plaisir lors du cunnilingus surtout de manière non verbale et assez activement via leur corps. Elles bougent leur bassin (96,8%), respirent de manière audible (95,7%) et vont jusqu’à gémir (93,4%). Ou bien elles prennent la tête de leur partenaire dans leurs mains et jouent avec la pression (75%). De plus, les demandes verbales (75,4%) sont un moyen populaire d’indiquer le chemin souhaité.

Parler à l’avance de ses souhaits et de ses besoins, c’est ce que les donneur.ses (16,6%) ont tendance à faire plus souvent que les femmes (13,4%). Il semble qu’une communication ouverte puisse libérer à la fois de la pression de l’orgasme et des appréhensions.


Louiza Papadopoulou, directrice marketing international de JOYclub, souligne : « Le cunnilingus est perçu

comme très intime par presque toutes les personnes interrogées et les a priori autour des organes génitaux ne manquent pas. En particulier, les femmes se préoccupent de leur pilosité (58,2%), de leur odeur (54,4%) et de leur goût (53,8%), mais beaucoup moins de l’apparence de leur vulve (23,3%). Cependant, quand on leur demande, les donneur.ses ne sont pas affecté.es par ces aspects-là et aiment (beaucoup) le goût (89,3%) et l’odeur (77,4%) ainsi que la vue de la vulve (97,8%). Seuls les poils peuvent être perçus négativement : 76,9% ne les aiment pas quand ils/elles lèchent leur partenaire. Néanmoins, lorsque la bouche et peut-être aussi le nez des personnes actives sont recouverts de liquide corporel, elles en profitent simplement pour elles-mêmes (55,3%) ou le partagent encore plus volontiers avec leur partenaire en s’embrassant (65%). »

Guide du Cunnilingus : JOYclub présente un cours en ligne explicite et sans honte, produit par ses soins, sur la pratique sexuelle du cunnilingus. Le coach Tyga Dares explique différentes techniques et les montre avec son partenaire de tournage Maki. En savoir plus sur le cours de sexe oral gratuit : Guide du Cunnilingus.

 Plus d’informations, visitez www.joyclub.fr.

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